Comment j'ai choisi ma formation d'aromathérapie.

La formation Aromabase

J’ai débuté ma formation par ce module et comme je l’espérais j’ai appris beaucoup…

De l’origine de l’aromathérapie en passant par son histoire, Cécile nous développe tout ça avec humour. La technique de distillation n’a plus de secret pour moi. J’ai aussi compris combien le choix des fournisseurs était important, notamment pour éviter d’acheter des huiles de qualité médiocre.

Une autre chose que j’avais négligé, la lecture des étiquettes sur les flacons !! Toutes les informations concernant le contenu doivent y figurées… Si l’étiquette est pauvre, passez votre chemin… Voir l’article sur HE lavande.

La biochimie des huiles essentielles, un chapitre essentiel et pourtant totalement méconnu (de moi), les huiles essentiellement sont classées selon leur principales molécules chimiques, celles ci appartiennent à une classe particulière. Ce sont ces familles qui déterminent les propriétés principales des HE.

En fait, ce fut une bonne et une mauvaise nouvelle, une bonne parce que en effet ça facilite la recherche de propriété en lisant le fameux chémotype* sur le flacon. Mais par contre une HE peut contenir de multiples molécules, et donc avoir des propriétés variées. Elles se recoupent entre elles et au début ça fait mal à la tête. 😁😇

Ce module aborde aussi la question de la première trousse d’aromathérapie soit les essentielles, incontournables comme le tea-tree pour désinfecter et stopper les mycoses, la lavande fine pour soulager les coups de soleil, la menthe poivrée pour les migraine, (avec prudence). Le citron pour la digestion… Le ravintsara pour booster l’immunité et stopper net les rhumes.

Le stockage est un point important aussi, par exemple les HE issues des agrumes(zeste) se conservent moins longtemps, maximum 3 années. Toutes les HE doivent être rangées dans un endroit tempéré et sombre. Les flacons doivent être bien bouchés et tenir debout. (attention risque d’évaporation et d’oxydation).

Comment savoir si mon huile essentielle est périmée ? à l’odeur qui change et devient désagréable et/ou si elle provoque des rougeurs.

En matière d’aromathérapie, la sécurité n’est surtout pas à négliger ! ce n’est pas une « médecine douce », les erreurs de choix ou de dosages peuvent désastreuses voire dramatiques.

Pour utiliser les huiles essentielles, formez vous un minimum, en achetant un ou deux ouvrages sur l’aromathérapie ensuite suivez les conseils d’un professionnel ou d’une personne ayant suivi une formation sérieuse. Même si elles sont issues directement des plantes les huiles essentielles sont extrêmement concentrées, et peuvent être de véritables poisons. A minima elles sont pour certaines allergisantes, photosensibilisantes, dermo-caustiques, neurotoxiques, abortives…

Une des plus connues l’HE de menthe poivré peut provoquer si elle est mal utilisée un choc thermique!

l existe de nombreuses contre-indications comme par exemple : la grossesse, les asthmatiques, les épileptiques, interactions avec certains médicaments…

Ce qu’il faut savoir et respecter :

  • Attention aux formules, respecter les dosages à la goutte!
  • Ne jamais utiliser PURES mais DILUEES
  • Au maximum ne pas appliquer plus de 20 gouttes par jour/adulte 5 gouttes/enfant
  • Ne jamais essayer de diluer dans l’eau, çà ne marche pas! utiliser un dispersant, une huile végétale, du lait entier, du miel…
  • Ne pas utiliser les HE chez les femmes enceintes de moins de 3 mois et chez les enfants de moins de 3 ans.
  • Jamais près ou dans des yeux même diluées.

Une dernières mise en garde, ces huiles sont un peu magiques, si vous commencez à vous y intéresser vous deviendrez comme moi « addict » et là je décline toute responsabilité.

Quelques ouvrages pour vous aider:

*Type chimique des molécules majoritaires selon endroit de récolte, ensoleillement, nature du terrain, données déterminées par des analyses précises (aromatogramme)

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